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*grésillement* Bienvenue sur ... *grésillement* inneR_A13. Prenez connaissance des *grésillement* -veaux arrêtés. Tout écart sera sanctionné. N'oubli- *grésillement* pas que inneR-A13 ne vous a pas choisi. Vous devez obéissance à votre *grésillement* -érarchie, vous êtes *grésillement* -devables.**fin de la transmission**
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You're aching, you're breaking ﻬ Ft. 8027

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Déchu
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bras droit du clan abysse
Lun 2 Mar - 5:34
citeréditersupprimerip
ﻬ You're aching, you're breaking Ft. 8027En aucun cas la réaction de 8027 ne devrait l’étonner. Après tout, elle avait tous les droits. Et si sa gifle précédente n’avait pas été d’un effet escompté, quand bien même elle avait rompu la glace qui maintenant la façade de son mari, Clarice avait avec ses mots réussi à faire bien plus que ça. C’était pourtant bien simple, elle ne s’était jamais tournée vers lui que dans le besoin. Pourquoi avait-il seulement l’idée qu’il pouvait faire plus ? Parce qu’il la pensait sans défense ? Non. Précisément parce qu’il sait combien elle n’a pas besoin de lui. Parce qu’il sait qu’elle n’a jamais eu besoin de lui après ce jour-là.

1652 n’est pas le genre d’homme à s’ouvrir aux autres. Pas le genre d’homme à baisser ses défenses. Il pourrait par mille moyens justifier son comportement. Prétendre qu’il n’a simplement jamais eu ce tempérament tendre. Qu’il n’a jamais été un homme bon. Pourtant, quelques années Auprès d’elles auront prouvé bien des choses, et l’une d’entre elles n’a jamais été son cœur de pierre. Pour tout ce qu’il a été inaccessible, il n’a jamais voulu la laisser tomber. Il a sûrement échoué à de multiples égards. Il suffisait de lire dans ses yeux à elle. De lire la colère sombre et brûlante de Clarice. Tout le venin qu’elle portait à son encontre à lui.

Alors c’est ce goût-là qu’a l’échec. Il y avait pourtant déjà goûté à de multiples reprises. Il avait déjà échoué par trop de fois, failli à cette tâche qu’il s’était donnée. A cette mission qu’il avait fait le choix d’endosser. Mais pour elle, il avait toujours tenu ses apparences. Pour elle il avait toujours voulu être plus fort, plus impénétrable. Être ce qui lui offrirait un semblant de réconfort ou de calme.

Ses doigts relâchent sa prise sur sa belle et son sourire ne se fane pas. Il accepte, l’air indifférent, des paroles qui auront malgré tout le mérite de trancher dans sa chair plus qu’il n’aurait voulu le croire possible. Le silence pèse entre eux et il finit par se redresser en position assise et repousser ses cheveux à elle, un contact à peine présent, rapide et déjà envolé. Sans lui demander son avis, il l’aide à se décaler d’au-dessus de lui et se relève, rattrapant l’oreiller qu’elle lui avait auparavant jeté.

« Bonne nuit, Clarice. »

1652 quitte la pièce sans un mot de plus, aucun éclat, aucune réplique acerbe. Il en avait eu assez.