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Vengeance
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chef du clan vengeance
Onyx était mort. Onyx était mort, par sa faute. Onyx était mort à cause de lui. Dante avait beau se dire qu'il n'était pas encore mort, non, ce n'était pas possible, il avait certainement pu s'enfuir - dans ses brefs instants de clarté, il se rendait compte de l'évidence: Onyx était mort. Onyx était mort. Onyx était mort.
Ils allaient tous mourir.
Il avait trouvé le clan Liberté, tard dans la nuit. Dévisagé ses membres, jusqu'à ce que Pomme vienne le chercher, toujours toute pimpante, évidemment. C'était Pomme. Dante regrettait que Nora ne soit pas venue avec lui. Vengeance était soulagé que Violence soit restée s'occuper de leur propre clan. Il s'était approché de la silhouette qu'il redoutait tant, cette silhouette si peu familière. Ah, Liberté. Il était censé être son opposé total, mais il se sentait lié à lui.
Liberté
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Chef du clan Liberté
∗ Moi aussi.
Il souffla, et ce n'était un mensonge, ni une manipulation. Les tremblements de terre avaient rendu leurs positions faciles à détecter, avaient rendu leurs cachettes tout sauf certaines. Ils devaient prendre des décisions difficiles, désormais.
Vengeance
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En fait, Liberté semblait comprendre.
Il l'avait éloigné des oreilles indiscrètes des membres de son clan - posant son bras gauche dans son dos dans un geste étonnamment familier. Les deux hommes ne se connaissaient pas. Dante ne se souvenait d'aucun vagabond qu'il aurait pu connaître. Et pourtant, Abysse lui avait fait comprendre qu'il était censé le connaître, et connaître Liberté. Mais cet homme était un inconnu.
Liberté
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Il répond, simplement. C'est la première fois qu'il voit Vengeance, mais on lui a tellement parlé de lui. Il lui avait tellement parlé de lui. Alors, Liberté sait à quoi s'en tenir. Il sait qu'il évitera les grands discours, qu'il ira droit au but, qu'ils pensent probablement de la même façon, et qu'ils doivent être au moins aussi fatigués l'un que l'autre, finalement. Oui, Liberté n'a plus le temps.
* Nous avons des vivres, nous savons parfaitement comment en trouver, et vous avez un refuge.
Il hoche gravement la tête, le plan est évident, il sait qu'il n'y a rien à négocier, pas quand c'est si évident, mais il supplie intérieurement Vengeance de ne pas être le parfait abruti qu'on lui a dépeint. De ne pas être un enfant. Pas maintenant, pas alors qu'ils sont au bord du goufre. Alors il lui tend la main.
* Nous devons allier nos deux clans. Tu le sais déjà, pas vrai ?
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